« Papa, elle à quoi maman ? » Demanda une petite fille bien innocente.

Elle était debout, devant la porte de la chambre de ses parents, son père, à genoux au pied du lit, et sa mère entrain de crier et de tout casser. La petite fille de six ans regardais le visage de sa mère changé, ses yeux devinrent bizarre. Son père finit alors par fermer la porte et la demoiselle, du nom de Nikkie, partit en courant dans sa chambre, se cacher sous ses couettes pour pleurer.
Elle avait peur, était-ce un monstre ? Elle avait peur, Était-ce la mort ?

Quelques années plus tard, elle avait grandit, elle été à présent au lycée, avec les grands. La grande fille, à la peau très pâle et au style vraiment particulier. C’était l’attraction de l’école, elle se sentait mal du lundi au vendredi. Pourquoi elle ? Se demandait-elle tout le temps. C’est vrai, elle n’avait jamais rien et elle à toujours pensé que c’était sa différence qui n’était pas accepté.
Elle pense souvent alors à sa mère, décédé à présent, le soir, dans son lit. Il lui arrive de pleurer et de prendre plusieurs somnifère pour s’endormir. La vie est tellement courte et surtout à quoi ça sert de vivre pour mourir après ? A vivre de belle chose ? Je n’y crois pas.

C’est-alors un bel après midi d’été que son père rentre des courses. Aucun bruit, le silence. Il marche alors vers la chambre de Nikkie, sa fille qu’il avait laissé seule, et ce n’est juste que des bruit de feuille qu’il entendis. C’est avec prudence qu’il ouvrit la porte et qu’il découvrait sa fille, dans le noir, déchirant des feuilles de papiers sans raison, murmurant des mots incompréhensible, ses y eux, il avait déjà vu ça quelque part. « Et merde non ! »
Il ne voulait pas prendre le risque de s’occuper d’elle comme il l’avait fait pour sa femme. Il l’a fille interné, préférant la laisser entre de bonnes mains qui, espérons le, serons prendre soins d’elle.

ALONE

Née un 19 novembre où l’hiver n’avait pas encore pointé le bout de son nez et pourtant il faisait déjà très froid. Lolita était dès petite une fille très gentille, pleine de vie, malgré les apparences car elle à toujours gardé une part de mystérieux chez elle avec un visage neutre et froid. Lolita devint une fille mature à fort caractère à son adolescence, très compliquée, qui se fait surement passé pour quelqu’un d’autre. Insensible, froid, réticente elle laisse personne, enfin presque personne entré dans sa vie et surtout dans son cœur. Elle à pourtant essayer à plusieurs reprise d’entrer dans la vie de sa grande de sœur et surtout dans son cœur mais elle c’est toujours fait ignorer par cette dernière.
Les année sont alors passés, toujours la même routine, drogue, alcool et sexe avec différent garçon, elle préfère pas s’attacher à quelqu’un mais…la vie est parfois fait d’imprévu.
Un matin, alors qu’il était 6h00, elle entendit quelqu’un descendre des escaliers, elle ne s’attendais surement pas à voir un garçon dans sa cuisine, et surtout en caleçon, juste le petit ami du moment de sa sœur. Elle ressentit une drôle de sensation à ce moment là, était-elle amoureuse ? Elle refusait de croire à cette hypothèse, et pourtant elle n’est jamais parvenu à s’enlever cet Alexis de la tête. Il était bien évidemment incessible à cause de sa sœur, une fois de plus et préférait essayé de s’oublier. C’est toujours plus facile à dire qu’à faire comme toujours, elle revu quelques mois après puis quelques jours après mais en vint…

Un jour, alors que c’était l’anniversaire de sa sœur Jane, c’est presque la troisième guerre mondiale qui avait éclaté entre les deux jeunes demoiselles. Une dispute c’était glissé dans la conversation. Lolita été devenu complètement folle de rage. Plusieurs coups, plus cris, les parents ne sachant que faire. La soirée se finit alors à l’hôpital, Jane dans une chambre. C’est un peu près sa sortie, qu’elle décidait de faire croire à ses parents que sa sœur à toujours été bizarre et peut-être qu’elle avait des problèmes psychologique. Un an après, Lolita se trouvait dans cet hôpital où tout avait l’air si triste. Était-elle condamné ? Elle se l’est souvent posé cette question. C’est- alors à cause de cet endroit et surement de tous ces médicaments qu’elle devint complètement folle et violente.

« Cher journal,

Je suis né un matin vers cinq heure du matin. Le soleil brillait déjà, on devait surement être en automne. Je ne me rappel pas de mes trois premières années mais il paraît que j’étais un enfant prématuré. Rien de grave, à vrai dire ça ne m’a jamais arrêté de vivre.
J’ai grandit dans ma petite famille avec mon père, ma mère et mon grand frère, je ne sais pas si il m’a vraiment aimé un jour, d’après ma mère il à attendu ma naissance avec impatience mais il ne m’adresse pas plus un sa va, qu’une bonjour. Je ne préfère pas m’attarder par ses gaminerie. Je m’enferme alors pendant des heures dans ma chambres, dans mon monde, j’écris, oui, j’écris des poèmes, je suis rêveur, entourer des posters de mon groupe préféré.

A l’école, je ne m’attarde pas sur les personne qu’il peut y avoir dans ma classe ou bien à l’extérieur. Je marche paisiblement espérant qu’on ne pose pas de questions. A près tout, pourquoi les gens s’intéresserait à ma vie. Je ne me socialise pas, je trouve que ça en vaut pas la peine, ce ne sont que des hommes, des humains immatures qui ne comprenne pas ce que c’est la vie, qui sont hypocrite et qui se dise gentil, drôle et sympathique. Je me ris d’eux.

Chez moi, toujours le même cinéma. Je parle que très peu. A vrai dire à quoi sa sert de parler pour rien dire ? Je ne m’abaisse pas à ça. Ma mère me trouve bizarre, elle parle souvent de moi à mon père et à mon frère. Qui puis-je ? Je ne suis pas bizarre, je suis moi. Ma mère à monter une secte contre moi, j’en suis sûr, elle m’a dit qu’elle va m’emmener quelque part. Je n’ai pas peur, je suis confiant.

C’est blanc, c’est triste. C’est donc sa la vie ? Si je m’attendais à ça ? A vrai dire non. Journal, je me dis que tu as bien de la chance d’être qu’un livre avec quelques vulgaires bouts de papiers à l’intérieur. Hôpital me diriez vous ? Stupide humain que vous êtes, vous ne connaissez pas le vrai sens du mot humain. »

Personne la connais. On sait juste d’elle que ça fait trois ans qu’elle est arrivé ici. Stella ne parle jamais de sa vie, elle consulte le psy deux fois par jour depuis trois ans mais sans succès vu qu’elle ne décroche pas un mot de toute les séances et est surveillé en permanence par des infirmière. C’est l’une des personnes les plus dangereuses, elle à déjà plusieurs fugue, à causés différent accident au sein de l’hôpital et j’en passe. Même si c’est-une fille qui est loin d’être rassurante, c’est quelqu’un de très sociable, elle aime beaucoup parlé, mais on le lui interdit tout le temps dû à son comportement, pourtant, elle un bon fond, Stella à juste l’impression que personne l’à comprend.

« que sais tu sur toi ? » Lui demanda un interné de son étage.

« J’ai 16 ans, née le dix-sept février, je suis sûrement folle. Oui….folle de toi….folle de tout.. »

L’interné ne reprit pas la parole et partit. Elle restait alors seule, dans ce couloir qui à l’air si sombre, si triste. Il fait nuit, il fait triste, je veux sortir…