Carl est né en Allemagne le 3 janvier 1990. Ses parents se sont toujours inquiété pour lui, timide et réservé il resté tout le temps derrière sa mère pour ne pas croiser le regard des invités et des autres personnes. C’était très rarement qu’on pouvait entendre le son de sa voix, pendant plusieurs années sa mère pensais qu’elle avait mit au monde un enfant muet, plusieurs médecins l’on rassurer sur se cas là, il fallait juste qu’il prenne son envole et qu’il se développe par ses propres moyens, sans sa mère.
Lorsque Carl atteint l’âge de douze ans, sa mère décidait de l’envoyer en Angleterre, dans une famille d’accueil dans le seul but de le faire développer plus vite et puis…on dit que là bas on arrive à avoir une vie meilleure.

Avait-elle raison ?
Carle, âgé seulement de douze ans, était assez intimidé par sa nouvelle famille et était très triste de ne plus voir sa mère, lui qui y était très attaché. Il ne parlait donc à personne, avait l’habitude de se faire charrier à l’école et n’aimait pas du tout cette ville. Peu à peu que les jours passaient, le jeune garçon s’ouvrait un peu au monde. Il commençait à s’intéresser à l’art, à la nature et même à l’école. Il commençait aussi à discuter avec ses camarades de classes. Il se mettait alors à sortir de plus en plus tard avec ses nouveaux amis et d’autres choses… Une belle vie pour lui ?

Avait-elle tord ?
Trafiquant d’arme, trafiquant de drogue, vente de CD illégale, tous les moyens son bons pour gagner un peu d’argent, et Carl l’a très bien compris munit de ses compagnons de jeux. Il n’y avait aucun doute là-dessus, c’était quelque chose d’extrêmement dangereux pour lui, il avait sans doute prit son envole trop vite et c’était loupé dans l’atterrissage de son monde à la vie réelle.
On dit souvent qu’il faut toujours rester sur ses gardes, se méfier des gens, les personnes n’ont pas tout à fait tord. Du jours au lendemain, lors d’une intervention avec les policiers, il n’y avait plus personne pour lui. Il fut donc embarqué, fait comme un rat comme on dit. Il se fit alors passer pour quelqu’un de fou, essayant d’éviter les amandes, la prison et autres choses dans le même style. A-t-il bien fait ?

I’m Crazy :

D’abord impressionné, puis surpris et ensuite choqué. C’était peut-être mieux que la prison enfin de compte pour qu’il se fasse raisonner ? Il se mit à se refermer sur lui-même en voyant toutes ses horreurs autour de lui, ce n’était sûrement pas une mauvaise chose. Son âme d’enfant timide n’a jamais finit de roder autour de lui, qu’il se fasse passer pour quelqu’un d’autre, ou non.

Megan Faith, né le vendredi treize mai à trois heures du matin en 1991. Le jour qu’on dit « porter malheur » et l’heure qu’on dit « heure du diable », est-ce que son destin est déjà tout tracé ?
Pourtant ça ne l’a pas empêcher de vivre bien jusqu’à ses quatre ans. Oui, lorsqu’elle c’est mit à grandir, elle disait voir des fantômes ainsi que des esprits, elle à toujours eut un comportement étrange lorsqu’elle ne pouvait pas encore parler, toujours elle se réveillait à trois heures pile du matin pour pleurer. Sa mère se demandait si elle n’était pas possédé ou quelque chose comme ça, elle avoue avoir peur de sa fille de temps en temps, surtout lorsqu’elle se met à parler toute seule.

En 1996, elle décide donc de l’à faire interné. Elle avait entendu parlé d’un asile psychiatrie qui venait tout juste d’être construit, est-ce que c’était dieu qu’il lui avait donné un signe ? Elle a toujours pensé ça. La jeune demoiselle fit donc irruption dans ce grand bâtiment, elle avait peur oui, elle était innocente et n’avait rien demandé. Elle continue de parler toute seule oui, elle continue de rêver, de pratiquer la magie, ce n’est qu’un cauchemar après tout,. Mais de toute façon elle à ses amis…

Quel merveilleux cadeau de noël, une petite fille du nom de Sora. Chez elle noël à toujours été une fête exceptionnel avec toutes les traditions qui allait avec. C’est pour ça que depuis la demoiselle le fête toujours avec beaucoup de joie et d’excitation. Elle c’était toujours dit qu’elle avait eut beaucoup de chance de naître un vingt-cinq décembre. Mais est-ce que tous les noëls peuvent être aussi heureux que le précédent et ainsi de suite ?

Alors qu’il y avait beaucoup de verglas, son père avait insister ce soir là, durement pour prendre la voiture et partir chez la grand-mère de Sora pour fêter cette belle petite fête. Elle était âgé et par conséquent ne pouvait pas se déplacer. Oui, on se le répètera sans cesse dans la famille Maytsuku, cette fête est très importante, mais faut-il qu’elle en fasse des morts ? Comme les parents de la petite Sora lors de cette nuit si sombre, si froide. Elle ne déteste pas noël…elle restera fidèle à elle-même, même si elle c’est toujours dit qu’elle était resté en vie car il fallait que quelqu’un d’autre continu cette tradition.

On l’à donc envoyé directement dans une famille d’accueil en Angleterre. Elle était triste de quitter son pays, le Japon, mais si tel en avait décidé le destin. Malgré la persuasion qu’elle essayait de se faire, le mal de pays était toujours là, elle ne parlait presque pas un mot d’anglais même si elle apprenait tout doucement à son rythme chez elle. Elle ne pouvait s’empêcher de fuguer quelques fois, elle avait juste besoin de s’évader, de rigoler, de sauter un peu partout. Elle trouvait même ça marrant qu’on la nomme de folle.

Sa mère trouvait que c’était alors mieux de la mettre avec des gens comme elle. Non, en faite elle pensait que comme ça elle ne pourrait plus fuir et qu’au moins elle pourrait la voir tous les jours sans devoir la chercher dans les quatre coins du monde.
Sora, elle, n’a jamais déprimé à l’idée d’être enfermer là dedans, elle sentant bien avec les personnes, continue de rire, elle continue de vivre en gros.

Carl Schön

L'une est active, l'autre est timide et calme. Tout le contraire de l'autre, ils ne se comprennent pas mais chacun aime parler ensemble, ils se racontent leurs visions à eux du monde.

Très sociable, elle s'entend avec tout le monde ici.

Née en plein mois d’été. L’été le plus chaud qu’ils ont jamais connu et il fallait en plus que ça qu’une petite fille du nom de Tora, vienne voir à quoi ressemble cette planète. Les enfants sont si innocent lorsqu’ils sont petit qu’ils ne s’imagine pas une seule seconde à quel point le monde peut être cruel. Pourtant les enfants essayent toujours d’idéaliser le monde, si seulement ils avaient su, je pense qu’ils auraient préférés ne pas voir le monde.

Juste après sa naissance, c’est-à dire le 15 août d’une certaine année, ses parents lui apprirent directement les bonnes manières et tout ce qui accompagnait. Elle fut très vite bien éduqué , c’est d’ailleurs toujours bien de savoir les bonnes manières même si en grandissant elle se sentant rejeté justement à cause de ça. Elle ne pouvait pas vraiment vivre comme elle le voulait, il ne fallait pas qu’elle dépasse un certain couvre feu, elle ne devait pas parler aux garçons, et encore pleins d’autre chose de ce genre là. Tora n’à jamais voulu se rebeller, elle craignait la colère de son père et ne voulait en aucun cas se prendre des coups de ceintures.

Jamais ses parents n’ont vraiment vu que leur fille grandissait. Elle possédait toujours avec elle un petit ours en peluche blanc, elle jouais encore avec ses poupées et parlait avec son ours. Un jour, prit d’une colère, son père se mit à casser tout ses jouets dans sa chambre, ce moment l’a marqua beaucoup, elle ne restait plus qu’avec sa peluche. Son père à donc finit par prendre la décision d’aller au moins visiter un centre hospitalier pour les problème de ce cas. Sa mère n’étant pas vraiment pour, rouspétait quelque peu mais finit alors par se faire convaincre.

Elle se sent abandonné, perdu. Tout est si froid. Elle à peur du moindre bruit, elle préfère se cacher toute la journée sous les couettes de son lit qui se trouve dans sa chambre où tous les murs sont blanc et froid. Elle veut sortir de là mais c’est impossible.

Quatorze février, son anniversaire, quelle coïncidence. En faite ça ne lui faisait ni chaud, ni froid que ce soit le jour de la Saint Valentin. A vrai dire il n‘arrivait jamais à trouver sa place à travers ses couple de hétérogène. Les bals de fin d‘année, il n‘y allait non plus pas, même lorsque c‘était de jolies demoiselles qui venaient l‘inviter. Il n‘éprouvait aucun ressentit exceptionnel, pourtant c‘était quelqu‘un de normal.

Il finit bien vite par découvrir ce qui clochait chez lui, ce qui faisait qu‘il n‘était pas du tout comme les autres garçons de son âge, si seulement son père pouvait le comprendre et que sa mère n‘approuvait pas tous les dires de son mari comme si elle était son esclave ou quelque chose comme ça, en faite c‘était l‘amour qui faisait ça.

« Je ne suis pas fou, je suis juste humain papa… » Dit-il d’une voix très calme et posé.

Oui humain, mais pas aux yeux de son père. Est-ce qu’aimer les garçons faisait de lui un assassin ? Il avait du mal à se regarder dans un miroir après les multitudes de remarques assez déplacé de son père, il aurait tellement aimé être comme les autres. Si seulement il avait sut que tout ça l’emmène jusqu’ici, jusqu’à Crazy-Hell sous prétexte qu’il est soit disant inhumain, fou. Il se déteste. Et une chose est sûr, il ne compte pas adresser un seul mot dans cet endroit ignoble. Peut-être qu’il compte quand même s’ouvrir un peu aux autres.